La chronique Point de mire donne la parole à Action patrimoine. Cet automne, elle offre quelques pistes de solution numériques pour uniformiser et mieux diffuser les inventaires du patrimoine bâti au Québec. Cet automne, elle s’intéresse à l’application de la Loi sur le patrimoine culturel sept ans après son entrée en vigueur.
En octobre 2012, la Loi sur le patrimoine culturel (LPC) entrait officiellement en vigueur, en remplacement de la Loi sur les biens culturels de 1972. Cette loi désigne deux acteurs clés dans la préservation du patrimoine : le gouvernement provincial et les municipalités. Les rôles et les responsabilités qui incombent à ces deux niveaux de gouvernance y sont bien définis. Néanmoins, l’actualité médiatique ne cesse de porter à notre attention de nouveaux exemples d’immeubles patrimoniaux menacés de démolition. Dans les derniers mois, Action patrimoine s’est positionné dans plusieurs dossiers de ce genre, notamment ceux du presbytère de Roxton Pond, de la maison Bissonnette à Saint-Malachie et du monastère des Moniales dominicaines de Berthierville. Au vu de ces exemples, une question persiste : pourquoi la gestion de notre patrimoine bâti se fait-elle au cas par cas ? Lire la suite